Staphylococcus aureus : L’impact sur les infections du champ opératoire.
Les infections du champ opératoire constituent une complication courante des opérations chirurgicales, entraînant souvent des conséquences très graves. En plus de faire souffrir les patients et leurs familles, les recherches indiquent que les patients victimes d’une infection du champ opératoire présentent un risque élevé de mortalité. 1
Plusieurs facteurs affectent le développement d’une infection du champ opératoire. Néanmoins, beaucoup de ces infections sont mondialement associées à un même microbe, le Staphylococcus aureus. Le Canada n’en fait pas exception.
Une étude récente menée par le Programme canadien de surveillance des infections nosocomiales a révélé que le Staphylococcus aureus était la bactérie la plus souvent identifiée chez les patients qui ont développé une infection du champ opératoire après une arthroplastie de la hanche et du genou. 2
Staphylococcus aureus : Ce que vous devez savoir.
Les chercheurs ont constaté que le Staphylococcus aureus est présent dans le nez ou sur la peau chez 20 à 40 % d’entre nous et nous l’ignorons. 3 On appelle cette présence la colonisation.
Des études ont démontré que le risque de développer une infection en présence de Staphylococcus aureus augmente si le microbe est présent sur nous au moment de la chirurgie. 4
Le saviez-vous? Aux États-Unis, on compte environ 160 000 à 300 000 infections du champ opératoire chaque année. L’incidence économique de ces infections sur la prestation des soins de santé est importante avec un coût annuel estimé entre 4 et 10 milliards de dollars. 5
Prévenir le Staphylococcus aureus par la décolonisation.
La science a démontré que des stratégies de prévention des infections faciles et efficaces peuvent éliminer la croissance du Staphylococcus aureus et réduire le risque d’infection du champ opératoire.
Les douches préopératoires avec un savon antibactérien pour réduire la biocontamination et éliminer les microbes sur la peau sont recommandées, de même que l’application d’un agent antibactérien dans les narines. 6
Historiquement, un onguent antibiotique était utilisé pour décoloniser le nez. La préoccupation associée à cette pratique a été le développement d’une résistance aux antibiotiques7 et la faible conformité aux longs protocoles de traitement.
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Le succès du produit est attribuable à quatre caractéristiques clés. 8
- Efficace : L’application unique réduit le risque d’infection du champ opératoire dans le cadre d’un protocole préopératoire complet. Il diminue efficacement le nombre de bactéries dans les narines, dont le Staphylococcus aureus, de 99,5 % et il n’y a aucun signe de résistance antimicrobienne.
- Activité persistante : La formule brevetée est conçue pour fonctionner en une heure et persister pendant au moins 12 heures.
- Facilité : L’antiseptique à large spectre et à action rapide permet une application plus large que des protocoles de traitement sélectifs et s’intègre facilement aux processus préopératoires.
- Confortable : La formule brevetée qui forme une pellicule est conçue pour ne pas couler, ne contient pas d’alcool et a démontré une excellence acceptabilité lorsque le produit est utilisé sur les tissus nasaux.
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Voici à quoi vous attendre de ce produit :
- Éponge de douche préalablement imprégnée de gluconate de chlorhexidine à 4 %.
- Emballage à dose unitaire facile à utiliser.
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Références
1. MAGILL S.S., J.R. EDWARDS, W. BAMBERG et coll. Multistate point prevalence survey of health care–associated infections, NEJM, vol. 370, n° 13, 2014, pp. 1198 à 1208. DOI : 10.1056/NEJMoa1306801.
2. ROTH V., R. MITCHELL, V. VASCHON et coll. Periprosthetic infection following primary hip and knee arthroplasty: the impact of limiting the postoperative surveillance period, Infect Control Hosp Epidemiol., vol. 38, n° 2, 2017, pp. 147 à 153.
3. SIVARAMAN K., N. VENKATARAMAN et A.M. COLE. Staphylococcus aureus nasal carriage and its contributing factors, Future Microbiol, vol. 4, 2009, pp. 999 à 1008.
4. BODE L.G., J.A. KLUYTMANS, H.F. WERTHEIM et coll. Preventing surgical site infections in nasal carriers of Staphylococcus aureus, N. Engl. J. Med., vol. 362, n° 1, 2010, pp. 9 à 17.
SCHWEIZER M., E. PERENCEVICH, J. MCDANEL et coll. Effectiveness of a bundled intervention of decolonization and prophylaxis to decrease Gram positive surgical site infections after cardiac or orthopedic surgery: systematic review and meta-analysis, BMJ, vol. 346, n° f2743, 2013.
5. MAGILL S.S., J.R. EDWARDS, W. BAMBERG et coll. Multistate point prevalence survey of health care–associated infections, NEJM, vol. 370, n° 13, 2014, pp. 1198 à 1208. DOI : 10.1056/NEJMoa1306801.
6. BODE L.G., J.A. KLUYTMANS, H.F. WERTHEIM et coll. Preventing surgical site infections in nasal carriers of Staphylococcus aureus, N. Engl. J. Med., vol. 362, n° 1, 2010, pp. 9 à 17.
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7. POOVELIKUNNEL T., G. GETHIN et H. HUMPHREYS. Mupirocin resistance: clinical implications and potential alternatives for the eradication of MRSA, J. Antimicrob. Chemother., vol. 70, 2015, pp. 2681 à 2692. DESROCHES M., J. POTIER, F. LAURENT, A.S. BOURREL, F. DOUCET-POPULAIRE et J.W. DECOUSSER. Prevalence of mupirocin resistance among invasive coagulase-negative staphylococci and methicillin-resistant Staphylococcus aureus (MRSA) in France: emergence of a mupirocin-resistant MRSA clone harbouring mupA, J. Antimicrob. Chemother., vol. 68, 2013, pp. 1714 à 1717.
8. Données sur fichier.