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Plus de 150 ans du tableau périodique, d'innombrables découvertes.

Un tableau périodique, un thermomètre et une bouteille sur un fond bleu et orange

La chimie peut être utilisée pour expérimenter, créer et innover, mais que vous meniez des recherches dans un laboratoire ou que vous alliez faire une randonnée dans les bois, la chimie est partout. Tout les éléments sur terre sont composés des éléments présents sur le tableau périodique.

Alors que pour bien des gens, l’introduction au tableau périodique consistait à mémoriser l’ordre des éléments à l’aide d’une chanson, un examen plus approfondi révèle des secrets sur les éléments du monde qui nous entoure – ses unités fondamentales.

Chaque élément est défini de manière unique par le nombre de protons dans son noyau. Le chimiste russe Dimitri Mendeleev a créé le tableau périodique selon cette propriété, organisant les éléments de gauche à droite en fonction de leur nombre croissant de protons.

Création du tableau périodique

Cependant, vous remarquerez peut-être que le tableau périodique n’est pas un rectangle droit – il a une forme unique qui met davantage en évidence les éléments chimiques. Par exemple, les gaz inertes (les « gaz nobles ») ont leur propre colonne, séparée des éléments hautement réactifs, ou le bloc de métaux vers le bas du tableau. À chaque ligne du tableau, un autre anneau d’électrons chargés négativement est ajouté, ce qui rend les atomes un peu plus gros.

Le tableau périodique original de Mendeleev ne comprenait que 63 éléments, mais son modèle suggérait clairement qu’il était persuadé que de nouveaux éléments seraient découverts. Il a donc laissé des espaces où il prévoyait l’ajout des éléments inconnus. Depuis, le nombre d’éléments a presque doublé, et le tableau est toujours aussi utile pour les scientifiques qui en apprennent davantage sur notre monde et font des découvertes marquantes.

Cet effet boule de neige est la vraie nature du processus scientifique – plus on apprend, plus on se pose de questions, et on finit par faire des découvertes qui en engendrent d’autres.

Bien que ce processus puisse apporter son lot de frustration et de défis dans le travail quotidien d’un chercheur, prendre du recul comme cette année nous amène à le faire avec l’anniversaire du tableau périodique peut nous rappeler à quel point la vue d’ensemble peut être magnifique.

L’effet domino derrière l’innovation

Pour bien mettre les choses en perspective, 3M, un chef de file mondial en matière de fabrication innovante, a exposé le cheminement de 51 technologies innovantes à la manière de Mendeleev. Son tableau d’innovation nous rappelle que nous ne savons jamais vraiment où une bonne idée nous mènera.

Par exemple, le ruban de masquage a été inventé en 1925 lorsque Richard Drew, un employé de 3M, a remarqué que les ouvriers à la réparation de carrosserie étaient frustrés d’essayer de couvrir les sections lorsqu’ils peignaient des voitures en deux tons sans écailler la peinture fraîche avec leur ruban. Il s’est aperçu qu’ils avaient besoin d’un autoadhésif plus sensible à la pression qui se retirait facilement sans laisser de trace.

Le ruban de masquage demeure utile dans une variété de milieux, mais il a également conduit à d’autres inventions comme les rubans en cellophane, le ruban isolant en vinyle et les champs chirurgicaux. Vous n’êtes jamais à plus de 3 mètres de la science de 3M. Même en voiture – qu’il s’agisse du matériau d’étanchéité des portes ou de la pellicule rétroréfléchissante permettant aux panneaux de signalisation de rester visibles en toute sécurité, ces solutions sont conçues dans les laboratoires de 3M.

Bien que nous puissions oublier quel est le 26e élément du tableau périodique (c’est le fer – l’élément le plus abondant sur Terre selon la masse!), en célébrant le 150e anniversaire de son invention, n’oublions pas toutes les découvertes incroyables qu’il continue d’inspirer. Et gardez espoir pour la suite!

Restez à l’affût des dernières histoires et percées scientifiques.

Apprenez-en davantage sur les solutions en cours d’élaboration pour résoudre les problèmes d’aujourd’hui au Centre Science de 3M.

 

À propos de l’auteur

[enBio=Samantha Yammine is a Neurobiologist and Science Communicator. She earned her PhD from the University of Toronto studying how stem cells build and maintain the brain. In addition to her doctoral work, she contributed to the crowd-funded research on #ScientistsWhoSelfie on Instagram. A leader in producing engaging science content that stands out online, she garners millions of views each month as Science Sam on social media. All year, she has focused efforts on sharing the science behind the COVID-19 headlines to empower individuals with the science they need to protect themselves and their communities. Get in touch or learn more about her work at samanthayammine.com.],[enJob=Science Communicator],[frBio=Samantha Yammine est neurobiologiste et communicatrice scientifique. Elle a obtenu son doctorat de l’Université de Toronto, où elle a étudié la façon dont les cellules souches créent et entretiennent le cerveau. En plus de ses travaux de doctorat, elle a contribué à la recherche financée par le public dans le cadre de la campagne #ScientistsWhoSelfie (scientifiques en égoportrait) sur Instagram. Une leader en matière de production en ligne de contenu scientifique captivant, elle recueille des millions de vues chaque mois dans les médias sociaux, sous le pseudonyme de « Science Sam ». Tout au long de la dernière année, elle a concentré ses efforts sur la communication de données scientifiques associées aux manchettes sur la COVID-19, et ce, afin de donner aux gens les connaissances dont ils ont besoin pour se protéger et protéger leurs communautés. Vous pouvez communiquer avec Sam et en savoir plus sur son travail en visitant le site Web samanthayammine.com.],[frJob=Communicatrice scientifique]

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